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Les personnages du mythe d’Hiram au R.E.A.A.

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Les personnages du mythe d’Hiram au R.E.A.A. : qui sont Hiram-Abi, Hiram de Tyr, Salomon, Johaben, Zerbal, Stolkin, Adoniram, Guibulum et Galaad ? Quel est leur rôle et que représentent-ils ?

La décision du roi Salomon d’ériger un Temple à la Gloire du Grand Architecte de l’Univers est le point de départ du mythe d’Hiram. La légende maçonnique relate une construction du Temple en deux temps : un âge d’or avec Maître Hiram aux commandes, et un temps de souffrance et de difficultés consécutivement à la mort du Maître Architecte, causée par les trois mauvais compagnons.

En ces temps troublés qui font l’objet de l’ensemble du récit du 3ème au 14ème degré, divers personnages apparaissent, se débattent et se complètent pour tenter de retrouver le sens. Les incompréhensions, les transgressions et les conflits sont nombreux entre les ouvriers, entre Salomon et Hiram de Tyr, ou encore entre Johaben et Salomon.

Ces personnages doivent être abordés sur un plan intérieur. Chacun d’eux peut être assimilé à une instance psychique, une part de nous-même qui tente d’exister ou de s’imposer face aux autres, l’objectif final étant le rétablissement de l’harmonie intérieure, seule voie qui permettra l’achèvement du « Temple intérieur », lequel pourra alors se laisser habiter par Dieu…

Voyons qui sont précisément les personnages du mythe d’Hiram au R.E.A.A.

Le psychisme humain est traversé par de nombreuses influences et énergies contradictoires. Bonnes intentions, raison, intuition se mélangent à nos instincts, à nos pulsions, ambitions et peurs, notre ego tentant de concilier tous ces aspects. Nous évoluons ainsi entre maîtrise, non-maîtrise et impression de maîtrise…

Voilà donc le vaste chantier de notre monde intérieur qui se présente à nous. La légende d’Hiram, à travers les nombreux personnages qu’elle met en scène, nous propose tout simplement de mieux comprendre ce qui se joue en nous, tout en éclairant notre rapport aux autres.

Hiram-Abi ou Abiff est un personnage présent dans le Premier Livre des Rois de l’Ancien Testament, bien qu’il ne fasse l’objet d’aucune légende spécifique. A l’inverse, il est au coeur de la légende maçonnique.

Le rituel d’initiation au troisième degré le décrit comme savant dans l’art de l’architecture et dans le travail des métaux. Il est choisi par le roi Salomon pour diriger les ouvriers : il est donc le Maître par excellence, celui qui possède la connaissance, celui qui conçoit les plans et en même temps celui qui conduit les travaux. Il est donc le seul à savoir concilier pensée et action.

Pris à parti par les trois mauvais compagnons, il préfère mourir plutôt que livrer indûment les secrets qu’il possède. Son sacrifice en fait l’image de l’homme parfait : sage, juste, fidèle à son devoir, capable de renoncer à lui-même pour une cause plus grande.

Hiram représente donc un exemple, un idéal perdu. Ce n’est pas l’Idéal du moi ou le Moi idéal de la psychanalyse, mais un idéal de sagesse désintéressée qui constitue le chemin qui doit nous guider jusqu’au Saint des saints. Ce chemin, c’est aussi le Devoir tel que décrit au quatrième degré, inflexible, exigeant, impératif. Cette voie promet de nous ramener à notre état primordial authentique, dont Maître Hiram constitue l’image parfaite.

Autant dans l’Ancien Testament que dans le Coran et la légende maçonnique, le roi Salomon représente la sagesse. Possédant les « secrets » (qu’il partage avec Hiram de Tyr et Hiram-Abi), il décide de faire construire un Temple dédié à Dieu. Dans cette oeuvre, il fait preuve de tempérance, de justice et de persévérance.

Il fait face aux difficultés consécutives à l’assassinat de Maître Hiram. Il rend hommage à d’Hiram et fait organiser des funérailles (5ème degré R.E.A.A.). Il calme la colère de son fournisseur de matériaux Hiram de Tyr (6ème degré). Il guide, nomme et initie les ouvriers. Il prend les dispositions pour prévenir les conflits et maintenir la concorde entre les ouvriers (7ème degré). Il fixe le cap malgré les épreuves. Il ordonne la traque des mauvais compagnons. Il récompense et pardonne (degrés de vengeance). Au final, il représente l’intention saine, la grâce mais aussi la droiture et la probité.

Les qualités de Salomon pourraient être assimilées à celles de Maître Hiram. Mais contrairement à Hiram, Salomon n’a aucune capacité d’action, aucune prérogative matérielle. Il ne peut concevoir les plans et ne peut les faire exécuter. Il se contente de donner les grandes orientations.

Par conséquent, Salomon incarne la dimension de sagesse qui existe en nous, mais qui se heurte à la réalité. Salomon a voulu ériger un Temple pour Dieu, mais a-t-il vraiment les moyens de ses ambitions ? Il devra traverser de graves difficultés et de nombreux doutes avant de parvenir à son objectif.

Enfin, au 14ème degré, Salomon sombre dans l’idolâtrie et « devient sourd à la voix de l’éternel ». Sans doute la preuve qu’il n’existe pas d’instance véritablement pure en nous : l’ego est présent partout, s’infiltre partout…

Tel que décrit dans le Premier Livre des Rois, Hiram de Tyr (Tyr étant une ville de l’actuel sud-Liban) est un allié de Salomon, le premier reconnaissant une grande sagesse au second. Contre rétribution, Hiram de Tyr fournit les ouvriers et les matériaux (notamment les bois de cèdre et de cyprès) à Salomon pour la construction du Temple. Hiram de Tyr lui fournit surtout Hiram-Abi, lui aussi originaire de Tyr, ce qui permettra la bonne avancée du chantier.

L’alliance entre les deux rois est indispensable à la réussite du projet. Salomon et Hiram de Tyr représentent la complémentarité entre intention et possibilité, esprit et matière. Mais un troisième élément est nécessaire pour relier ces deux aspects : en l’occurrence, c’est Hiram-Abi, seul à même de concilier l’idée et sa concrétisation.

Au final, Hiram de Tyr représente le potentiel réalisateur : c’est l’intelligence dans sa dimension matérielle, concrète, réaliste. Salomon, lui, manque de pragmatisme, c’est d’ailleurs ce qui cause le conflit du 6ème degré. A contrario, sans Salomon, Hiram de Tyr aurait été incapable d’ériger le Temple. Un troisième élément est donc nécessaire pour concilier les deux rois. Hiram-Abi disparu, Johaben pourra dans une certaine mesure jouer ce rôle de « Secrétaire intime ».

Les trois mauvais compagnons sont, dans l’ordre :

  • Jubella Guibs (dit « Sterkin »), qui frappe Hiram à la porte du Midi avec un fil à plomb. Il représente l’ignorance,
  • Jubello Gravelot (dit « Oterfut »), qui frappe Hiram à la porte d’Occident avec un niveau. Il représente le fanatisme,
  • Jubulum Akyrop (dit « Abiram »), qui porte le dernier coup, fatal à Maître Hiram, avec un maillet, à la porte d’Orient. Il représente l’ambition.

Johaben tue Abiram dans la caverne (9ème degré), transgressant les ordres de Salomon. Cette vengeance est signe d’aveuglement. En effet, on ne peut tuer l’ambition par ambition. Cette erreur provoque la colère de Salomon, qui est précisément l’instance chargée de réguler l’ambition. Dans sa grande sagesse, Salomon pardonne à Johaben : on peut y voir la tentative de l’initié de réintégrer l’ambition, de la canaliser, de lui donner une forme plus noble.

Quant aux deux derniers mauvais compagnons, ils passeront par la justice salomonienne (10ème degré), signe que les aspects sombres de notre psychisme sont désormais soumis, voire détruits.

Dans les livres des Rois de l’Ancien Testament, Adoniram est le collecteur des impôts du royaume d’Israël (1 Rois, 4, 6).

Au 5ème degré, Adoniram (fils d’Abda, de la tribu de Dan) est le Président de la loge ; il a l’honneur d’être le premier parmi sept maîtres à remplacer Hiram-Abi. Il est chargé d’organiser les funérailles d’Hiram. Nommé chef des travaux du Temple, il fait élever un mausolée, jugé « parfait » par Salomon.

En phase avec Salomon, Adoniram représente aussi l’instance capable de comprendre ce en quoi Hiram-Abi était parfait. Il symbolise donc la prise de conscience de ce qui a été perdu.

Au 7ème degré, Adoniram est chef des Prévôts et Juges. Au 8ème degré, Salomon le nomme, ainsi que son père Abda et Tito, Inspecteurs et Conducteurs de l’ouvrage, c’est-à-dire princes des Harodim. Dans la Bible, les Harodim étaient les gouverneurs et prévôts (sortes de préfets), au nombre de 3300.

Au 14ème degré, il occupe le poste de Premier Grand Surveillant.

Ces éléments font d’Adoniram le relai efficace et éclairé de la sagesse de Salomon, ce que renforce le fait qu’Adoniram soit Inspecteur et Surveillant à de multiples degrés.

Tito est, au même titre qu’Adoniram, un fidèle de Salomon et un relai efficace. Il est Premier Surveillant au 6ème degré. Il est Président (« Trois Fois Illustre ») au degré suivant, doyen des Prévôts et Juges, Grand Surveillant et Inspecteur des 300 architectes qui dessinent les plans du temple. Il est nommé, comme Adoniram, prince des Harodim.

Au 8ème degré, Tito propose à Salomon, qui se demande comment terminer le Temple, de nommer un chef pour chacun des 5 ordres d’architecture : 5 Intendants des bâtiments. Il est Inspecteur à ce degré.

Il est enfin l’un des douze Sublimes Chevaliers Élus au 11ème degré.

Johaben (ou Johabert) est un personnage central de la légende d’Hiram.

Au sixième degré, il est présenté comme l’un des favoris de Salomon : « Cet homme est parmi mes favoris et des Seigneurs de ma cour celui qui m’est le plus attaché ».

Maladroit et indiscret, il est surpris à la porte, ce qui provoque la colère d’Hiram de Tyr. Grâce à l’intercession de Salomon, il échappe à la mort, devient Secrétaire Intime des deux rois, donc médiateur entre esprit et matière. Mais est-il vraiment digne de cette place qui était aussi celle d’Hiram-Abi ?

Au 7ème degré, Johaben est nommé Prévôt et Juge, sous l’autorité d’Adoniram. Au 8ème degré, il est encore promu, nommé Intendant des bâtiment, chef de l’un des cinq ordres d’architecture, apte à organiser la poursuite des travaux. Pour cela, il doit reconnaître son ignorance et pratiquer la vertu.

Mais au 9ème degré, il outrepasse les consignes de Salomon et se permet de tuer lui-même Abiram, l’un des trois mauvais compagnons. Condamné à mort par Salomon, ses frères obtiennent sa grâce. C’est donc la deuxième fois qu’il échappe à la mort…

Ainsi, le zèle de Johaben se retourne deux fois contre lui. Pourtant, son intention de départ est toujours pure. Johaben présente l’image de l’initié, de l’homme en progression, de l’ego en voie de purification. Il se connaît encore mal, ce qui l’entraine souvent sur le chemin de l’erreur. Mais n’apprend-on pas de ses erreurs ?

Au 13ème degré, Johaben descend, avec Guibulum et Stolkin, à travers les neuf arches. Assagi, il n’ouvre plus la voie, mais participe à la découverte du Nom ineffable.

Stolkin est le maître qui a découvert le corps d’Hiram au troisième degré : il peut représenter la conscience qui cherche et qui trouve, donc la partie de nous qui est la plus proche de la Connaissance.

Nous allons le voir, Stolkin est toujours associé à ce qu’il y a de plus grand et de plus noble. Sa discrétion et son humilité en font un personnage sage et efficace, ce qui le conduira tout droit à la découverte du Nom Ineffable.

Favori de Salomon, Stolkin est l’unique Surveillant au 5ème degré. Au 7ème degré, son initiale est présente sur le tableau de loge aux côtés de celles de Iéovah et Hiram (IHS). Son initiale est encore présente sur le tombeau d’Hiram représenté sur le tableau de loge du 10ème degré (JHS : Jehova, Hiram, Stolkin). Dans les deux cas, les initiales sont associées à la branche d’acacia.

Au 9ème degré, c’est à Stolkin que Salomon demande d’exécuter Johaben lorsqu’il apprend que ce dernier a transgressé ses ordres. Voilà un signe de haute confiance.

Au 11ème degré, on retrouve une nouvelle fois l’initiale de Stolkin sur le tableau de loge, sur le côté d’un autel carré supportant un coffret doré. Stolkin devient en outre l’un des douze Sublimes Chevaliers Élus.

Au 13ème degré, Stolkin descend à travers les neuf arches, avec Guibulum et Johaben. Il participe à la découverte du Nom ineffable, ce qui lui vaut d’être reçu Chevalier de Royal-Arche. Il occupe le poste de Grand Inspecteur à ce degré.

Zerbal est le Capitaines des gardes de Salomon : il est chargé de la protection du roi. Au 5ème degré, il est le Frère Introducteur.

Au 6ème degré, lorsqu’Hiram de Tyr, furieux, pénètre dans le palais et traverse la salle des gardes pour accéder à l’appartement de Salomon, il ne réagit pas : voilà un signe de faiblesse qui aurait pu emporter l’Esprit sous les coups de la matière. C’est alors Johaben qui pallie à l’inattention de Zerbal. Il faut ici noter ici la complémentarité entre les deux personnages, leurs deux noms constituant le mot de passe à ce degré.

Au 10ème degré, c’est Zerbal (accompagné du maître Eleham) qui découvre les meurtriers dans la carrière de Ben Deker et les ramène à Salomon. Enfin, au 11ème degré, Zerbal est l’un des douze Sublimes Chevaliers Élus.

Au final, Zerbal représente l’instance qui protège la sagesse et la pureté d’esprit contre les assauts de la matière. Au 6ème degré, cette instance montre des faiblesses ; elle doit être complétée du zèle de Johaben pour être véritablement efficace. A l’inverse, Zerbal pourrait bien avoir à tempérer les ardeurs de Johaben…

Emerek n’est pas un personnage de la légende d’Hiram à proprement parler : c’est le titre que reçoivent les douze Chevaliers Elus au 11ème degré. Il représente l’homme vrai en toutes circonstances, c’est-à-dire l’individu qui a réussi à se transformer, à se sublimer pour incarner les plus hautes valeurs de la chevalerie.

Le personnage de Guibulum apparaît au 13ème degré. Il est décrit comme « un bon maçon ». Il est présenté comme le confident de Salomon.

Au 13ème degré, le Temple est terminé mais pas encore consacré. Salomon envoie Guibulum, Johaben et Stolkin fouiller les gravats. Guibulum trouve l’anneau et la première pierre carrée qui ouvrira ses descentes successives à travers les neufs arches et permettra la découverte de la plaque d’or sur laquelle est gravée le Nom ineffable.

La progression à travers les neuf voûtes sera rendue possible par la complémentarité des personnages : Guibulum représente l’intention spirituelle, alors que Johaben et Stolkin jouent un rôle matériellement actif, tenant la corde et obéissant aux ordres de Guibulum.

Au final, Guibulum est le premier à découvrir sa véritable nature : Je suis ce que je suis. Il peut alors laisser Dieu habiter son Temple intérieur.

Au 14ème degré, Galaad (fils de Sophronie, prophète de l’Ancien Testament qui avait prédit la décadence et l’idolâtrie des habitants de Jérusalem) est le héros qui se sacrifie pour protéger le secret :

Galaad était le gardien de la Voûte Sacrée ; il prenait soin que des lampes restent toujours allumées. Il adorait et contemplait le Nom Ineffable.
Il fut l’égal d’Hiram Abi qui, quelque quatre cents ans plus tôt, avait perdu la vie pour ne pas dévoiler le secret des Maîtres. Galaad choisit d’être enseveli sous les ruines du Temple plutôt que de révéler par sa fuite l’existence du précieux Trésor qui serait alors tombé aux mains des Barbares.

Galaad est à la fois grand-prêtre et preux chevalier :

  • chef des Lévites, gardien des lampes, il adore et contemple le Nom ineffable, signe qu’il est en communion avec l’idée qui sous-tend le symbole du Grand Architecte de l’Univers. Il est assimilable au Grand-prêtre qui, une fois par an, au moment du Yom Kippour, pénétrait dans le Saint des saints pour prononcer le Nom ineffable,
  • face aux destructions de Nabuchodonosor, roi de Babylone, il ne fuit pas, choisissant d’affronter le danger plutôt que de livrer les secrets à l’ennemi. Il est prêt à traverser la mort pour rejoindre Dieu.

Galaad est donc le seul homme à pouvoir rencontrer Dieu, à la fois par l’esprit et par l’action : il est l’Homme-étoile, l’équivalent d’Hiram. Il représente l’idéal atteint, la parole retrouvée.

Les personnes du mythe d’Hiram pourraient être assimilés à des pièces du jeu d’échecs, aux planètes alchimiques ou encore aux Sephiroth de l’arbre de vie.

Dans ce dernier cas, Salomon pourrait correspondre à la Sephira Chochmah (la sagesse, l’énergie spirituelle pure mais non structurée) et Hiram de Tyr à la Sephira Binah (le potentiel d’existence structuré et intelligible).

La rencontre de ces deux Sephiroth et des deux piliers auxquelles elles président (Miséricorde et Rigueur) donne naissance à la Sephira cachée Daath représentant la Connaissance intégrale, incarnée par Hiram-Abi en début de cycle et par Galaad en fin de cycle.

Mais plutôt que de séparer artificiellement les personnages ou de les hiérarchiser, il faut insister sur leurs interactions et leur complémentarité. Johaben vient au secours de Zerbal, mais a besoin d’être tempéré par Stolkin. Malgré sa position subalterne, Johaben devient médiateur des rois, rois qui pourtant voudront le condamner à mort. Guibulum montre la voie, mais a besoin du soutien de Johaben et Stolkin. On pourrait ainsi multiplier les exemples…

Ainsi, entre zèle, transgression, intercession, pardon, soutien, secours et modération, les personnages s’assemblent et construisent une voie d’harmonie et de libération intérieure. Un chemin toujours sous-tendu par l’accomplissement du Devoir.

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Modif. le 23 novembre 2025

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